Le confinement a eu un effet important sur les parents. En effet, la plupart d’entre eux se sont rendus compte qu’ils vivaient au quotidien avec un rythme bien trop soutenu. Et que leurs enfants subissaient ce rythme incroyable. Ils ont donc décidé de ralentir… C’est ce qu’on appelle le slow parenting. Cette tendance semble d’ailleurs se démocratiser, notamment en France !
Une nouvelle tendance
Durant le confinement, les parents n’ont pas eu d’autres choix que de profiter de leurs enfants. Et donc de revenir à l’essentiel. Si les premières semaines ont pu être compliquées, le reste du confinement s’est plutôt bien passé. Et les parents se sont rendus compte qu’ils vivaient à cent à l’heure et ne passaient finalement pas assez de temps avec leurs enfants.
Leur agenda surchargé est un fléau, et nombreux sont ceux à vouloir changer ces habitudes. 56 % des parents français souhaitent lever le pied. Et ils adoptent un mouvement qui est apparu aux Etats-Unis il y a environ quinze ans, et qui s’appelle le slow parenting. L’objectif est tout simplement d’offrir du temps à leurs enfants et de lever le pied sur des choses qui sont finalement moins importante que le bien-être de leur famille.
Avoir du temps
Le slow parenting est donc le fait de stopper la course effrénée du quotidien. Car ce stress est néfaste pour les petits qui sont sous tension et n’ont plus le temps de rêver, de ressentir leurs émotions, et de se construire, tout simplement. Sans pour autant arrêter de vivre ni stopper son travail, il est tout à fait possible de réorganiser son temps pour remettre l’essentiel en avant chaque jour.
L’objectif du slow parenting est de modifier son mode de vie pour passer des moments de qualité avec ses enfants. Ce qui permet en outre d’être plus patient, plus attentionné, plus calme… Cette tendance serait particulièrement efficace et peut être adoptée facilement. Alors pourquoi pas vous ?