Ce mercredi 27 janvier, le porte-parole du Gouvernement s’est exprimé en sortant du conseil de Défense. Il a expliqué que plusieurs scénarios étaient à l’étude actuellement, et parmi eux, un confinement très strict. Les pédiatres ont décidé de sortir du silence pour avertir les autorités du danger qui pèserait alors sur les enfants.
Un nouveau confinement à l’étude
La Covid-19 gagne du terrain en France, et malheureusement, le couvre-feu à 18h ne semble pas suffisant. Aussi, le porte-parole du Gouvernement a indiqué qu’Emmanuel Macron et Jean Castex étudiaient actuellement plusieurs possibilités, dont celle d’un confinement très strict. Ce qui inquiète la Société française de pédiatrie.
En effet, un porte-parole de la Société française de pédiatrie a décidé de sortir du silence pour exprimer ces inquiétudes. Il indique que les services d’hospitalisation pour les enfants sont surchargés par les pathologies infectieuses courantes (come chaque hiver), mais aussi par des pathologies plus délicates comme la maltraitance, la déprime ou encore les envies suicidaires.
Des inquiétudes pour les enfants
Voici notamment ce que le porte-parole a annoncé dans un communiqué officiel : « Un an après le début de la pandémie un paradoxe doit interpeller : alors que les enfants ne meurent pas de la COVID-19, un grand nombre est en grande souffrance psychologique et dit avoir envie de mourir. » La fermeture des écoles pourrait avoir des conséquences graves pour les plus jeunes.
Selon les pédiatres, il est préférable de préserver la santé mentale et sociale des enfants qui ne semblent pas réellement mis en danger par la Covid-19. Si un troisième confinement était décidé, ils proposent de permettre aux écoles et aux structures d’accueil de rester ouverte. Pour l’instant, le Gouvernement n’a pas répondu…